Agent 17

"Ex-Humanoid" marks the second step in Sedna’s interstellar odyssey. With its pulsating electronic rhythms and futuristic textures, the track delves into the evolution of consciousness beyond the limits of humanity. Dark Earl merges driving drum & bass elements with atmospheric synth layers, crafting a soundscape that feels both alien and deeply introspective. It's a reflection on transformation, where the mechanical and emotional collide in the vast expanse of the cosmos.

SEDNA 0.1

Ex-Humanoid (Remastered)

After the intimate original version, "Emporte-moi" returns in a breathtaking new shape reworked by DJ and producer OldNEO. This edit wraps Lotus Pastel’s whispered plea in hypnotic synth waves, slow-motion beats, and delicate electronic textures.

 A perfect balance between fragility and groove, between the need to escape and the rhythm that holds you back. Originally written as "Que la nuit m’oublie", the lyrics remain the same  but the energy transforms. 

A bonus track, a memory remix, a dance of shadows.

Lyrics :

Vers 1
Je dérive lentement, l’air devient léger, Des étoiles qui tombent dans mes nuits éveillées. Les pas s’effacent, résonnent dans le vide, Emmène-moi là où le silence se décide.

Refrain
Porte-moi sous un ciel tranquille, Là où le monde s’éteint sans bruit. Serre-moi là où l’aube vacille, Que la nuit oublie qui je suis.

Vers 2
Le vent murmure entre les branches, Comme l’ombre douce sur la mer blanche. Des doigts qui cherchent dans le temps flou, Laisse-moi fuir, laisse tout.

Refrain
Porte-moi sous un ciel tranquille, Là où le monde s’éteint sans bruit. Serre-moi là où l’aube vacille, Que la nuit oublie qui je suis.

Outro
Plus de routes, plus de destin, Juste le souffle d’un ciel sans fin. Emmène-moi là où repose le rien…

Paroliers : Zachary Tali / 3SR

Emporte-moi

"J’aime Nous" feels like a letter not just written for love, but by Love itself.
In this gentle, poetic confession, Anissa Boualem speaks to all those who shape her world, family, friends, the familiar and the forgotten. With spoken verses and whispered truths, she embraces a kind of human polyamory: a deep, non-romantic affection for many, an openness of the heart that holds space for everyone.
This song, for Anissa, is a hymn. A tribute to presence, kindness, and the invisible threads that bind us.
It’s not about loving one person, it's a declaration of love to all who make us feel alive.
And in the end, she leaves us with this:
“Et si toi aussi, tu entends ça… sache que je t’aime.”
(If you too hear this… know that I love you.)

J’aime Nous (Lettre d’Amour)

“Un verre vide” is a gentle rebellion. In this second part of her spoken-sung diptych, Anissa Boualem reflects on the silence between words, the things left undone, and the beauty of stepping away. It’s a song that doesn't beg, it observes. With lo-fi textures and lyrical finesse, she transforms absence into presence. A song like a whisper in a misted café window.

Lyrics :

[Intro]
On croit que l’amour se dit.
Mais parfois…
il s’écoute dans les gestes qu’on n’a pas faits.
Dans les silences qu’on laisse tomber,
comme un verre vide sur une nappe blanche.

[Couplet]
J’ai pas toqué à ton ciel,
J’ai pas demandé la pluie.
J’ai marché pieds nus dans ton rituel,
Et t’as cru que j’étais bénie.
Mais j’suis pas l’histoire qu’on encadre,
J’suis la rumeur qui s’attarde.
Pas la photo qu’on garde,
Mais la buée sur ta vitre… tard.

[Refrain]
Je suis venue sans vouloir,
Juste pour voir,
Si ton cœur tenait sans phare.
Et j’ai vu l’ombre bouger,
Alors j’ai su qu’il fallait… marcher.

[Couplet 2]
Tu m’as prise pour un rôle,
Une esquisse sur ton épaule.
Mais j’suis l’encre qui déborde,
Pas celle qui suit les codes.
Oran m’a appris le flou,
Et Paris m’a donné l’goût
De disparaître juste assez,
Pour qu’on me cherche sans jamais m’attraper.

[Pont]
Si j’t’ai laissée là,
C’est pas par orgueil.
C’est que certaines flammes
ne brillent que seules.

[Refrain final]
Je suis venue,
Et je suis partie.
ne brillent que seules.

[Refrain final]
Je suis venue,
Et je suis partie.
Sans bruit.
Comme une femme qui sait
que tout ce qu’elle est
se dit mieux… quand elle n’explique rien.

[Outro]
On croit que j’suis partie.
Mais parfois…
c’est vous qui restez trop immobiles.

Un verre vide

9. Fell for a Ghost (2:24)
The shortest but most haunting piece. Whispered vocals and ambient sax lines. Falling for someone who’s never really been there.

Fell for a Ghost

An immersive blend of darkwave and industrial trap, where pulsing basslines, metallic rhythms, and haunting synth layers create a hypnotic, shadow-drenched soundscape.

D4RK

Built from fragments of Malhun chants, “Taj” rises like an ancient crown of sound. Dark Earl twists recycled voices and percussive echoes into a desert hymn, blending heritage with shadowed electronics.

The silence of the Sahara mirrors the shadows of Roswell. Different soil, same secret history.

Echoes of Roswell

An instrumental shaped by shimmering arpeggios and wide pads. Its rising build and euphoric climax create the sensation of memories dissolving into speed. Even without lyrics, it conveys nostalgia and acceleration.

Neon Highways

Memory Fade

Avec Hello Grey!, Mêm Pa s’empare d’un titre de Lotus Pastel et le réinvente à leur manière. Plus brut, plus insolent, leur version garde la poésie des paroles mais lui injecte un groove constant, proche de Stromae, entre riffs acérés et beats modernisés. C’est une danse dans le noir, pleine d’ironie et de vérité, qui résonne comme un hymne des rues parisiennes.

Agent 17

Mars Tech Records