A deep dive into psychedelic gravity distortion. Graviton is a hypnotic mix of heavy bass, warped synths, and eerie, atmospheric drones, creating a feeling of floating through an unstable dimension. The track bends between dark techno, trip-hop, and glitchy electronica, with sporadic bursts of North African percussions emerging like echoes from a distant world.

At its core, Graviton feels like a sonic black hole pulling you deeper, twisting time, and dissolving reality into a cosmic trance.

Graviton (Bonus Track 1)

"Des petits problèmes de célibataires", c’est une chanson qui explore avec poésie et sagesse les petites absurdités et les grandes vérités de la solitude. Entre des images abstraites et des métaphores inattendues, Maladonna nous emmène dans un univers où le vide devient une richesse, où les objets du quotidien prennent vie, et où chaque silence raconte une histoire. Une ode à l’amour de soi, à la liberté, et à cette étrange beauté qu’on trouve dans les moments de solitude.

 "Little Problems of Being Single" is a song that poetically and wisely explores the small absurdities and profound truths of solitude. Through abstract imagery and unexpected metaphors, Maladonna takes us into a world where emptiness becomes richness, where everyday objects come alive, and where every silence tells a story. This is an ode to self-love, freedom, and the strange beauty found in moments of solitude.

Lyrics: 

Des petits problèmes de célibataires

(Couplet 1)

Il y a une horloge qui tourne à l’envers,

Elle me dit : "Tout seul, le temps n’a pas d’air."

Je marche sur un fil tendu dans ma tête,

Un funambule qui danse, mais qui s’arrête.

Les murs me parlent en couleurs pastels,

Ils me racontent des histoires sans appel.

"Un cœur solitaire, c’est comme un vieux piano,

Il joue des notes, mais il manque un écho."

(Refrain)

Des petits problèmes de célibataires,

Ce sont des rêves qui flottent dans l’atmosphère.

Un puzzle de vie où il manque une pièce,

Mais parfois, le vide devient une richesse.

(Couplet 2)

J’ai un fauteuil qui grince comme un secret,

Il me murmure des choses que j’ai oubliées.

Un livre ouvert sur une page blanche,

Comme si l’histoire attendait qu’on la relance.

Je bois mon café dans une tasse ébréchée,

Elle me rappelle qu’on peut être beau même cassé.

Et quand la nuit tombe, je parle aux étoiles,

Elles brillent seules, mais elles forment une toile.

(Refrain)

Des petits problèmes de célibataires,

Ce sont des silences qui dansent dans la lumière.

Un chemin qu’on trace sans savoir où il va,

Mais chaque pas construit un bout de soi.

(Pont)

Être seul, c’est un art qu’on apprend doucement,

Comme plier un avion en papier dans le vent.

Parfois, il vole, parfois, il retombe,

Mais il porte toujours un morceau de mon monde.

Un célibataire, c’est un peintre sans modèle,

Il dessine des visages dans le ciel.

Et même si les nuages effacent ses traits,

Il sait que demain, il recommencera.

(Refrain)

Des petits problèmes de célibataires,

Ce sont des rêves qui flottent dans l’univers.

Un cœur qui bat, même sans compagnon,

Car l’amour commence par une vibration.

(Outro)

Alors je laisse l’horloge tourner à l’envers,

Je marche sur mon fil, libre dans l’air.

Et si un jour, une main rejoint la mienne,

Je saurai que le vide m’a appris à être plein.

Des petits problèmes de célibataires

The Bartenders – “He Took the Oath”
Rare are the moments when Stephaan Rayes puts pen to paper. But when he does, it cuts like thunder in a silent town. “He Took the Oath” is a haunting dark country ballad drawn from dust, guilt, and ghost trails, written and performed solo by Rayes himself. His voice oscillates between a breaking falsetto and a deep, worn-out baritone a man both weeping and warning.
This song marks a defining moment for The Bartenders. Carried by stripped-back arrangements and emotional weight, it’s a spiritual successor to the old American lament yet feels timeless. Part of their upcoming debut album, the track leaves the door wide open for more stories in this vein: raw, true, and unforgettable.
Zachary Tali now behind the drums for good.
The rhythm section just got a heartbeat upgrade. 🥁🔥

LYRICS:

He Took the Oath
[Chorus - Refrain fantomatique] Ride, ride... Ride down that gravel road, The preacher’s gone ahead. Ride, ride... The preacher’s gone ahead, And we’re followin’ him slow, Oh we’re followin’ him slow...

[Verse 1 – The Oath Was Taken] He took the oath from our hands, Swore it in the name of the Lord. He took the oath from our hands, Gave his word, gave his word. Then he slammed his door shut, Kept the world outside. Turned away every neighbor, Left no soul to confide.
(Ride, ride... the preacher’s gone ahead)

[Verse 2 – Brother Turned Stranger] He was one of our own, Brother of blood and bone. But silver caught his eye, And darkness claimed the throne. He felt no weight in his chest, Took what he could and fled. No remorse in that heart — Just green dreams in his head.
(Ride, ride... the preacher’s gone ahead)

He Took the Oath

"CYAN" is a sonic hallucination.
DA-PHONK crafts a slow-burning, hypnotic track where shimmering synth waves collide with sharp phonk beats.
The track feels like driving endlessly through neon landscapes lost between dreams and code, between liquid light and solid shadows.
Cold but sensual, minimal but obsessive, "CYAN" is a meditation on repetition and resonance.
Where beats echo like heartbeats… but wired.

CYAN

A gentle lo-fi song about the bittersweet evolution of friendship losing some, keeping others, and learning to accept the quiet truth of emotional distance. “Your Definition” speaks in whispers, memory echoes, and late-night thoughts in the kitchen. For those who feel alone, but not forgotten.

Lyrics :
"Ta définition"


🟤 Couplet 1
Des amis qui s’éloignent, un à un, tout doucement,
Leur nombre diminue, comme si c’était le vent.
Je sais pas si c’est moi, ou le temps, ou la vie,
Qui me pousse à rester seule, loin des bruits, des envies.

Peut-être que c’est mieux, d’avoir moins de problèmes,
Peut-être que mon bien, c’est d’être seule quand j’aime.
Je me demande souvent si ma direction
Suit encore celle des autres, ou fait l’opposition.

Et si c’est moi le bien ? Ou bien moi le mal ?
Peut-être que l’âge éloigne, peut-être que c’est normal…
Mais heureusement…

🟤 Couplet 2
Y’a un autre type d’amis, ceux qui restent fidèles,
Qui comprennent que l’amitié, c’est d’être là, même loin d’elle.
Même s’ils partent parfois, ils sont là dans le fond,
Oui là… là, là… comme une vieille chanson.

Et là, tu penses peut-être à un, ou deux, ou trois,
Ou trois mille, ou sept milliards… pourquoi pas ?
Tout dépend de toi… de ta vision du lien,
Ta définition du mot « ami »… et c’est bien.

Et pendant que t’y es…

🔵 Refrain
Reste ! Là, même là-bas. Pars si tu veux,
Mais là, tu sais pas… ou peut-être tu sais mieux.
Dans tous les cas, c’est ni toi ni moi, tu vois,
Qui dessine les chemins de vie, alors vis, et ta vie vivra.

Ou bien c’est moi… pas moi mais "le moi",
Celui qui cherche la paix, un peu comme toi.
Et j’crois qu’en toi aussi, ce "moi" parle tout bas,
Dans ton jardin, ou ta chambre, ou peut-être même ton sofa.

Ça dépend de ta définition du mot "vie",
Alors vis… continue, même si ça vacille.
Et puis parfois… tu reviens, sans raison, sans loi,
Est-ce que c’est toi ? Ou bien la vie qui veut mon bien à moi ?

🟤 Pont 
C’est peut-être toi… non, pas toi, toi.
C’est quoi pour toi… le mot "fidèle", dis-moi ?
Forever friends ? Ou juste un passage ?
Faut-il toujours poser ces questions, à chaque âge ?

Parfois… ouais, c’est moi qui casse sans le voir,
Je détruis sans faire mal, sans vouloir décevoir.
J’fais des biens instantanés, croyant qu’ils durent toujours,
Mais ils tombent en poussière… emportés par les jours.

Et pourtant, y’en a…
Ceux qui restent.

🔵 Refrain (final)
Reste ! Là, même là-bas. Pars si tu veux,
Mais là, tu sais pas… ou peut-être tu sais mieux.
Dans tous les cas, c’est ni toi ni moi, tu vois,
Qui dessine les chemins de vie, alors vis, et ta vie vivra.

Lyriciste : 3SR

Ta Définition

With sEx, DA-PHONK continues to defy form and function. The track, it’s an obsessive loop, drenched in repetition and dark minimalism, feeding on energy rather than melody.
The instrumental feels endless, as if it were designed to be stuck in a memoryless mind, pulsing into oblivion. Layered over this are cryptic vocal elements, slightly alien, heavily filtered, and never fully human.
Then comes the twist: a short, jolting final segment made from fragmented TV soundbites about the word “sex” reminding us how distorted, empty, and reprogrammed human intimacy has become in a media-saturated world.
This is not a love song. This is a coded message from another dimension, dressed in black and red.
Turn it up. Loop it. Lose meaning. DA-PHONK just dropped the most human track ever made by machines.

Mid-album scratch interlude. “Tokyo Nights” cut and twisted into rising EDM tension.

Midnight_Express

Tok'Yo (Part II)

A spacious opening with Rhodes chords and soft bass, like a slow inhale before the drift begins.

North African Jazzy Laid-back Drift

Abydos

Sex having disco

A2.Trip Tease & Alain Vice_Palcon Funch

July 1985, it's the end of high school when two teenagers fall in love until the end of summer.

CYAN

Mars Tech Records