Robert, you keep your high level standard. This is truly beautiful composition with awesome mood.

oh my.... goodness. magnificent job. the exact structure of a story in a song. skilled well upon imagination.

Original composition... Alejandro Gonzalez M.

Motives

Passing Clouds

Epic Orchestral Music.

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Ephemeral Bloom

Happy Ending

Une de mes nombreuses histoires à fondre de plaisir, racontée par le très talentueux Moussa Lebkiri (comédien, conteur, écrivain, metteur en scène) qui m'a fait l'honneur de lui prêter ses voix.
https://www.lebkiri.com/

HISTOIRE DU BONHOMME DE NEIGE QUI VOULAIT MAIGRIR
Par un beau soir d'hiver, un petit garçon se promenait tout seul en dehors de son village de montagne. En arrivant dans un pré, il entendit de petits sanglots. Il se demanda d'où cela pouvait venir. Comme il vit une haute et large silhouette au milieu du pré, il s'en approcha car c'était de là que venaient les sanglots. Arrivant près de la silhouette, il s'aperçut que c'était un bonhomme de neige, au moins deux fois plus grand que lui, qui pleurait.
— "Pourquoi pleures-tu comme ça ? demanda le petit garçon, un grand bonhomme de neige comme toi, ça ne pleure pas !
— Moi si, répondit le bonhomme de neige d'une petite voix mouillée. — Pourquoi pleures-tu ? redemanda le petit garçon.
— C'est à cause de ma taille. Chaque hiver c'est pareil : des enfants s'amusent en me faisant avec de la neige. Ils prennent beaucoup de neige, en font un gros tas, me mettent un vieux chapeau troué sur la tête, deux cailloux qui me font mal à la place 1des yeux, et une carotte même pas fraîche pour le nez, et ils trouvent ça beau. Mais moi, je me trouve gros et laid."
Et là-dessus, le bonhomme de se remettre à pleurer davantage.
— "Mais arrête de pleurer, lui dit l'enfant, tu vas finir par fondre !
— Fondre ? dit le bonhomme, mais c'est merveilleux ! C'est justement ce que je veux, perdre tous ces kilos qui me font ressembler à un éléphant ! Ouin ! Ouin !
— Attends ! dit l'enfant, si c'est maigrir que tu veux, je peux t'aider."
L'enfant se met à creuser un peu les hanches du bonhomme de neige.
— "Hi ! hi ! hi ! tu me chatouilles, dit le bonhomme en se trémoussant.
— Arrête de bouger, dit l'enfant. Si tu crois que c'est facile de te refaire une beauté... Là, comme ça, ça te plaît ?
— Non, je trouve que mes jambes sont encore trop grosses.
— Bon, attends."
Et l'enfant d'affiner les jambes comme un vrai sculpteur. — "Etlà?
— Ça va pour les jambes, mais regarde mes pieds, on dirait deux gros cochons en train de dormir !
— Comment les veux-tu ?
— Beaucoup plus fins, et bien dessinés."
Et l'enfant de s'appliquer encore pendant cinq bonnes minutes.
Tout à coup, alors qu'il avait presque terminé, il sentit le bonhomme vaciller doucement, puis basculer d'avant en arrière.
— "Attention ! cria l'enfant, tu vas tomber !"
Mais trop tard, le bonhomme tomba de tout son poids sur le petit enfant.
— "Eh ! relève-toi, cria l'enfant, tu me donnes froid dans le dos !
— Excuse-moi, répondit le bonhomme, mais je ne sais pas encore très bien marcher.
— Ce qu'il te faudrait, dit l'enfant en essayant de se dégager, c'est une bonne canne. Attends, je vais t'en chercher une."
Quelques instants plus tard, il revint avec une solide branche de bois mort, et la donna au bonhomme qui put enfin se relever.
— "Merci, dit le bonhomme, grâce à toi, je vais maintenant pouvoir voyager dans les montagnes qui sont si belles, surtout pendant l'hiver ! Au revoir ! Je ne t'oublierai jamais.
— Au revoir, répondit le petit garçon un peu triste de se séparer si vite de son nouvel ami, mais fais attention aux avalanches, tu risques de reprendre du poids !
— Ne t'inquiète pas, dit le bonhomme, j'ai bien vu comment tu as fait. Maintenant, je connais la recette. Merci pour tout, et adieu !"
Quelques jours plus tard, des hommes revinrent tout affolés au village. Ils disaient avoir vu l'abominable homme des neiges, un monstre de plus de deux mètres de hauteur, large comme une armoire à glace, et qu'il laissait des traces dans la neige tellement profondes qu'on pouvait s'y enfoncer jusqu'au genou. Le petit garçon souriait discrètement dans son coin, en pensant au bonheur de son ami qui marchait enfin libre et heureux dans ses belles montagnes.

Myckaël Marcovic, 1986.

Histoire du bonhomme de neige qui voulait maigrir (feat. Moussa Lebkiri)

Original composition….. Alejandro González M.

Ánimas

Another project created in 2022 but it wasn't finished, there was little left, just the end and a good mastering. This project got lost among the others, and I completely forgot about it, but in October I found it, finished it and released it on the 20th. I hope you enjoy! :)

A New Beginning

Vītulārī

I began writing the harmony and the main guitar riffs of this song right on Blackout Tuesday. Watching antiracism protests around the world, really got me inspired. Hence the title of the song.

No Racists Allowed To Enjoy

Springs Songs (for Tenor and Chamber Ensemble)
Duration: ca. 20'

MOVEMENTS:
I. English Sparrows (Washington Square) (Edna St. Vincent Millay)
II. April 5, 1974 (Richard Wilbur)
III. Done With (Ann Stanford)
IV. The Widow’s Lament in Springtime (William Carlos Williams)
V. Spring Rain (Sara Teasdale)

Performers: American Modern Ensemble; Alok Kumar, Tenor
For More Information: https://robertpaterson.com/spring-songs
Publisher: Bill Holab Music: http://www.billholabmusic.com/composers/robert-paterson/
Purchase Sheet Music: http://billholabmusic.com/store/index.php?keyword=spring%20songs%20-&main_page=advanced_search_result&search_in_description=1
Also available as a version for tenor and piano: https://robertpaterson.com/spring-songs


PROGRAM NOTE
Spring Songs for tenor and chamber ensemble or piano is my third song cycle celebrating the seasons. As with the first two, Winter Songs for bass-baritone and Summer Songs for soprano, this cycle contains settings of poems by various American poets.

Whereas both Winter Songs and Summer Songs end with scenes in New York City, Spring Songs begins with New York: a setting of English Sparrows (Washington Square) by Edna St. Vincent Millay, a poem about a scene that takes place in the morning in Greenwich Village, a neighborhood in New York City where Millay lived in the early 1900s. The second movement is a setting of April 5, 1974 by Richard Wilbur, a poem Wilbur wrote in honor of Robert Frost’s one-hundredth birthday, and I interpret as being about overcoming self-doubt through wisdom, and about understanding the change of seasons, but also a change of mind. The third movement, Done With by Ann Stanford, I interpret to be about death and rebirth. Stanford symbolizes this by a house being torn down and the ground paved over, the now suffocated plant life yearning to break through. The Widow’s Lament in Springtime, the fourth movement, is a setting of a poem by William Carlos Williams. I interpret this poem as a modernist, pastoral elegy that uses images of nature to lament the death of a loved one. The final movement, a setting of the poem Spring Rain by Sara Teasdale, is about a happy memory of a lover brought about by an evening thunderstorm.

Spring Songs was commissioned by Rick Teller for the American Modern Ensemble.

AME ARTISTS
Robert Paterson, Conductor
Alok Kumar, tenor
Grace Law, flute
Nuno Antunes, clarinet
Samuel Z. Solomon, percussion
Geoffrey Burleson, piano
Victoria Paterson, violin
Peter Sachon, cello

The Four Seasons

Spring Songs - V. Spring Rain (Text by Sara Teasdale)

American composer Robert Paterson is a true New Yorker—born and bred in Buffalo, he lived in Rochester and Ithaca for over ten years, in New York City for over twenty years, and now lives in Saratoga Springs, near the Adirondacks. Paterson’s colorful music embraces a wide variety of themes, everything from goddesses and online dating to mathematics and the environment. His music is filled with emotion and fierce rhythmic energy, marked by elegance, wit, and meticulous craftsmanship. Named Composer of The Year by the Classical Recording Foundation at Carnegie Hall, Paterson is the winner of the Alfred I. DuPont Award, and his opera Three Way won the Grammy® under Best Classical Producer of the Year. His music is often a Best of the Year pick on National Public Radio. His orchestral tone poem, Dark Mountains, regularly airs on NPR’s Performance Today. Three Way premiered with Nashville Opera, then BAM (Brooklyn Academy of Music), and across the United States. Minnesota Orchestra, Louisville Orchestra, The Oratorio Society of New York, Buffalo Philharmonic, Albany Pro Musica, Albany Symphony, Musica Sacra, Austin Symphony, Vermont Symphony, and ensembles worldwide perform his works. Paterson gives masterclasses at the Curtis Institute of Music, New York University, the Aspen Music Festival, the Cleveland Institute of Music, and more. He is the Artistic Director and house composer for Mostly Modern Projects. Robert is a lifelong vegan and advocates for animals and the environment, celebrating the natural world with ground-breaking works such as his Triple Concerto, A New Eaarth, Listen, and I Go Among Trees.

Spring Songs - V. Spring Rain (Text by Sara Teasdale)

Robert Paterson Composer

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