30 ans ! C’est bien plus que  l’âge qu’avaient Alice, Mathilde, Sam ou Fred Burguière quand ils sont devenus Ogres en 1994. Le double pour les jumelles, âgées de 15 ans à l’époque…
30 ans d’une histoire foncièrement singulière et profondément marquée du sceau de la liberté, à tous niveaux. Une histoire si dense en projets et riches en expériences variées qu’on ne peut ici qu’en exposer les grandes lignes. 
30 ans à défendre, sans aucune concession à « l’air du temps », leur conception de la chanson française : décloisonnée et ouverte sur le monde, qu’elle se fasse « classique » ou métissée, acoustique ou électrique, clin d’œil aux glorieux anciens ou directement en prise avec les sonorités du nouveau millénaire, poétique ou survoltée, amoureuse ou contestataire, pour les petits ou pour les grands ou pour les deux à la fois… Et l’écriture, entre réalisme et poésie du quotidien, porte la marque des préoccupations citoyennes de gens impliqués et responsables. Sans jamais se permettre de donner des leçons.
30 ans passés sur leur terrain de jeu favori, celui où l’on s’expose, où l’on partage, où l’on échange, celui où, en tant qu’artistes, ils sont nés et où ils existent pleinement : la scène. C’est sur la route en jouant, tout le temps, partout et sous de multiples formes [près de deux mille concerts recensés…] que les Ogres ont rencontré, fidélisé et élargi ce public auquel ils n’ont de cesse de marquer leur profond respect. Notamment en variant, régulièrement, les propositions artistiques qu’ils lui font. Cette étonnante aptitude des Ogres à se réinventer sans jamais se perdre, outre qu’elle évite que la lassitude ne trouve le moindre espace où s’installer d’un côté comme de l’autre, nourrit l’inaltérable plaisir qu’ils prennent et qui se communique ainsi, tout naturellement, aux gens. Alors, même si leur production discographique est prolifique [vingt deux références, tous supports confondus !], osons l’affirmer : leur métier, c’est la scène. 
30 ans à développer incessamment de nouveaux et atypiques projets, dont la rencontre semble être le maître-mot. Pour n’en citer que quelques-uns : des tournées françaises et européennes sous leurs propres chapiteaux, des livres-disques pour enfants - certifiés disques d’or - sur lesquels collaborent près de vingt groupes ou artistes, un album hommage à Pierre Perret pour lequel ils ont fondé une Tribu d’une trentaine d’artistes encore différents, de multiples spectacles singuliers accueillant invités en tout genre, des aventures communes de plusieurs saisons avec Les Hurlements d’Léo, La Fanfare du Belgistan, Eyo’nlé [collectif béninois qui les a accompagnés sur toute la tournée des 20 ans], ou encore, tout récemment, Cyrille Brotto et Guillaume Lopez, duo de musique traditionnelle occitane… Le processus est immuable : la rencontre se fait – généralement fortuite – et du plaisir pris dans l’échange, musical et humain, naît l’envie, et de l’envie le projet. Pour enrichir la palette déjà large de leur instrumentarium, pour insuffler une énergie différente, pour apprendre de l’Autre. Et, surtout, pour partager, encore et toujours. 
30 ans, enfin, qui ont conforté ce qui n’était, au départ, qu’une intuition : oui, il est possible d’inscrire son projet artistique dans la durée en suivant sa propre route. En effet, rapidement, leur nécessité viscérale d'indépendance et de totale liberté leur a imposé de larguer les amarres d'un cheminement traditionnel dans lequel ils ne se retrouvaient pas. Ils ont successivement structuré l'organisation de leurs tournées, constitué une équipe dont les piliers sont là depuis le siècle dernier, se sont lancés dans l'excitante mais délicate aventure de la création d'un label, Irfan, pour produire leurs disques, ont constitué un dense réseau de distribution pour ceux-ci, puis pris en main la gestion de leurs éditions et de leur promotion. Les Ogres ont ainsi toutes leurs cartes en main. Et – c’est peut-être là la plus puissante de leurs singularités – leur histoire s’est imposée comme un parfait modèle alternatif de développement de carrière.
30 ans, et est récemment venue l’heure d’un tournant historique dans l’aventure du groupe. Puisque le seul  individu qui pouvait être appelé un jour à devenir le 5ème Ogre à part entière les a rejoints il y a deux ans : Léo Burguière, leur petit frère, cinquième et dernier enfant de la fratrie, leur cadet d’une quinzaine d’années ! Léo qui va aujourd’hui… avoir 30 ans.
30 ans, et maintenant ? Et bien… c’est reparti ! Pour 30 ans de mie

Explosive sets, electronic-instrumental crossover, funky and eclectic sounds: The worldly cosmopolitan living in Vienna, Ulf Lindemann aka [dunkelbunt] who as DJ, soloist, producer and bandleader has set out a genuinely transglobal musical agenda and for over 15 years has been one of Europe's most innovative leaders of the electronic and world music scenes.
Whatever the pulse of the current club music scene that inspires the DJ, the composer transforms it with his international band into contemporary musical statements about how WORLD | MUSIC sounds today: 15 languages on stage, transglobal sounds from oriental to western merge with electronic beats to form an intelligent and energetic mix and guarantee a passionate live experience.

History:
[dunkelbunt] has been a pioneer of the „Balkan Beat“ and „Electro Swing“ genres since 2001 . His international breakthrough came with the Balkan-Hip Hop single „The Chocolate Butterfly“ ft. Raf Camora (2003) and the Electro Swing follow up hit „Cinnamon Girl“ (2007). The album „Mountain Jumper“ (2015) was awarded the ORF „Album of the Year 2015“. [dunkelbunt] + Band is an internationally booked live act in the genres of „World“, „Global“, „Club“, „Balkan Beats“, „Electro Swing“.

Collaborations:
Raf Camora, Anuradha Genrich, Kadero Rai, Lisa Cantabile, Fanfare Ciocarlia, Boban Markovic Orkestar, Amsterdam Klezmer Band, Waldeck, Hari Stojka, Otto Lechner, Balkan Beat Box, 17 Hippies, 5'Nizza, The Cat Empire, A-WA, Chancha Via Circuito, Sara Lugo and many more.

Christopher Annen, Henning May und Severin Kantereit sind ANNENMAYKANTEREIT. Drei Freunde, die nichts Großartigeres kennen, als zusammen Musik zu machen.

INGLESE:
Breaking down the established boundaries of musical genres and creating something new while doing so- That is Besidos!
The Darmstadt quartet unashamedly plunders the history of music, but uses a scalpel instead of a mallet while doing so, putting the selected pieces under a Balkan-gypsy pop therapy. The Sugababes sound as blue as “raki”, while Blur lays their electric guitars down by the corner and the rhythm invites you to belly dance with the spirit of Django Reinhard... "Killing in the Name of" by "Rage Against the Machine" turns into a fiddle number in the hands of Besidos , which one can hardly imagine that it was not a Macedonian folk song to start with. The music goes through a metamorphosis, leaving a very curious taste behind and revealing a unique chemistry which has its roots down in the history and character of Besidos as a band and the personal (hi)stories of the members.
“Summer hot and refreshingly tangy” is how Besidos’ music is described which, as a band, has had the pleasure of  sharing the stage with bands such as Baba Zula, Dubioza Kolektiv, Rotfront, Amsterdam Klezmer Band and Imam Baildi... and they have had the chance to spread this motto, while proving it right, all the way from Frankfurt, Ernsthofen, over Ohrid to Istanbul !
More info at Besidos.de

ALMANCA:
Die Grenzen der musikalischen Genres durchbrechen und etwas Neues schaffen - Das sind die Besidos!
Das Darmstädter Quartett plündert ungeniert die Musikgeschichte, geht dabei aber eher mit dem Seziermesser als mit dem Holzhammer zu Werke. Sie unterziehen die ausgewählten Stüc
ke einer Balkan-Gypsie-Pop-Kur. Da werden die Sugababes mit Raki abgefüllt und legen einen Bauchtanz hin, während Blur ihre Stromgitarren in die Ecke werfen und nach bester Django Reinhard Manier akustisch lospunken. „Killing in the Name of “ von „Rage Against the Machine“ wird zu einer Geigennummer, bei der man sich kaum vorstellen kann, dass es ursprünglich kein mazedonisches Volkslied war.
Sommerlich heiss und erfrischend spritzig: Auf zahlreichen Konzerten mit Bands wie BaBa ZuLa, Dubioza Kolektiv, Rotfront , Amsterdam Klezmer Band oder Imam Baildi wurde dieses Motto von Frankfurt, Ernsthofen über Ohrid bis Istanbul mehrfach unter Beweis gestellt.
Mehr Infos unter Besidos.de

A LA TURCA:
‘Müzik türleri arasindaki sinirlari yikmak ve bunu yaparken de yepyeni bir sey üretmek’- Iste Besidos!
Darmstadtli dörtlü gayet utanmaz bir sekilde, sectikleri parcalari bir Balkan-roma pop terapisine sokarken müzik tarihini yagmaliyor, altini ustune getiriyor ama bunu cerrahi bir titizlikle yapiyor.
Blur elektro gitarini duvara yasliyor ve ritim Django Reinhard’in ruhuyla sizi göbek atmaya davet ederken, Sugababes raki kadar mavi bir tona burunuyor... Rage Against the Machine’in “Killing in the name of”u Besidos’un ellerinde bir Makedon halk sarkisi olduguna inanmanin zor oldugu bir keman oyununa donusuyor. Müzik geride ilginc bir tat birakarak bir metamorfoz gecirirken, Besidos’un hem bir grup olarak hem de uyelerinin tarihinin/hikayelerinin özgün kimyasini da ortaya seriyor.
“Yaz sicakliginda ve ic ferahlatici sekilde keskin”, daha once BabaZula, Dubioza Kolektiv, Rotfront, Amsterdam Klezmer Band ve Imam Baildi gibi gruplarla ayni sahneyi paylasma zevkini yasamis Besidos’un müzigini tanimliyor... Ve Besidos bu parolayi, dogrulugunu ispatlayarak, Frankfurt’dan, Ernsthofen’dan, Ohrid’e, oradan Istanbul’a yaymaya devam ediyor! 
Daha fazla bilgi icin: Besidos.de

GREEK:
Ενα συγκρότημα που σπάει και αλλάζει συγχόνως τις 'καθιερωμένες μουσικές φόρμες της εποχής μας.Αυτοί είναι οι Besidos!
Το κουαρτέτο από το Darmstadt ανενδοίαστα λεηλατεί την ιστορία της μουσικής αλλά με την δεξιοτεχνία μικροχειρουργού. Κάθε γνωστό επιλεγμένο κομμάτι ''υπόκειται''
σε μια ποπ βαλκανική και τσιγγάνικη αναβάπτιση.
Οπου οι Sugababes τραγουδούν τα ¨ρακι μπλούζ" . Ο Blur ακουμπάει τις ηλεκτρικές του κιθάρες στο πάτωμα  και ο ρυθμός σε παρασέρνει σε ενα πρωτοποριακό τσιφτετέλι με την ενέργεια του Django Reinhard και το "Killing in the Name του "Rage Against the Machine. Οι Besidos το μετατρέπουν σε ενα παραδοσιακό μακεδονίτικο όπου το βιολί κυριολεκτικά αφηνιάζει!
 Αναμφίβολα οι Besidos είναι οι μάστορες της μεταμόρφωσης. Οι μουσικές τους αφήνουν πίσω τους μια περίεργη γεύση και αποκαλύπτουν μια μοναδική χημεία με ρίζες και αναφορές στην ιστορία του συγκροτήματος συνολικά αλλά και στα βιώματα των μελών της μπάντας χωριστά.
 Η μουσική τους ''ζεστή σαν καλοκαιρι και αναζωογονητικά πικάντικη''. Εχουν μοοιραστεί την σκηνή με μπάντες και ονόματα όπως οι Baba Zula, Dubioza Kolektiv, Rotfront, Amsterdam Klezmer Band και Imam Baildi σκορπώντας αυτή την άισθηση καλοκαιριού και πικάντικης χημείας από τη Φρανκφούρτη, Ernsthofen, στην  Οχρίδα και τώραΚωνσταντινούπολη !
 Περισσότερα στο Besidos.de.



O Grupo Cultural Jongo da Serrinha, um dos mais tradicionais grupos de Jongo do país, apresentará seu novo show VIDA AO JONGO, no Centro Cultural Justiça Federal no centro do Rio nos dias 19 e 20 de outubro 2013 às 19h.

O gênero musical “JONGO”, considerado o pai do samba, é um ritmo conhecido nas canções de diversos artistas como Beth Carvalho, Clara Nunes, Nei Lopes, Wilson Moreira e Arlindo Cruz. O novo disco VIDA AO JONGO conta com a participação especial de grandes nomes Zeca Pagodinho, Sandra de Sá e Jorge Mautner.

Dedicado a tia Maria do Jongo, que fará sua participação especial aos 92 anos, o repertório conta com pontos de jongo tirados do seu “caderninho” onde ela anota suas memórias. O repertório é uma reunião de bambas da música popular carioca em homenagem ao ritmo que foi tombado pelo IPHAN (Instituto do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional) em 2005 como primeiro patrimônio imaterial da região sudeste.

Conhecido também como Caxambu, o Jongo é integrado por percussão de tambores, canto e dança. Presente no Sudeste brasileiro, o Jongo fez o caminho do café e da cana-de-açúcar, praticado pelos negros de origem bantu, trabalhadores escravizados nas lavouras da região.

Com uma hora e meia de duração, entre jongos inéditos e de domínio público, o espetáculo VIDA AO JONGO levará para o palco o “terreiro”, uma grande roda coexistindo com tradições e criações. Os pés descalços e as saias fazem “a energia girar” com alegria num espetáculo que convida o público a participar da “Dança das Almas dos Pretos Velhos”, das umbigadas e da herança africana daregião do Congo-Angola. O corpo de baile jongueiro será formado por dez bailarinos com idades entre 18 e 80 anos.

O show VIDA AO JONGO, nas vozes das cantoras Deli Monteiro, Lazir Sinval, Luiza Marmello e da jongueira mais antiga da cidade e fundadora do G.R.E.S. Império Serrano, Tia Maria do Jongo é um espetáculo com harmonias (cordas) e conta com a direção musical de Paulão 7 Cordas (violão 6 cordas e arranjador), Adriano Furtado ( violão 7 cordas e arranjador), Thiago da Serrinha (bandolim e voz), Hamilton Fofão (cavaquinho e voz ), Pedro Pamplona ( flauta ), Kiko Horta ( acordeom ). Nos tambores Anderson Vilmar ( tambú ), Dilmar José ( caxambu ), Vinícius Bastos ( candongueiro martelo), Alan ( candongueiro e efeitos).

Who we are: we are a record label, like many others are, but we're a whole lot more than that. We are the baby of Lars. Lewerenz, who began to release our music, the music of his friends, his adopted family, in 2003. Which was a good decision, we've celebrated ourselves for this everywhere in the meantime. Cuz Audiolith Youth is everywhere. And we're there with it and down with it. We're coming to your town, and we're listening to what you have to say, and we'll see each other in the streets and we'll be wearing the same t-shirt. Your style is important to us, cause you like our mix. So you become part of it, cause everything fun and authentic goes, cause we're don't dig getting in trouble but rather get on parking lots. On which we rave. We drink our beer. But don't close our heads. We dance and sing songs. Cause we're way hotter than the crap they try to flog at you in Discounterland. Don't listen to them. Loosen up. Blow your mind with good music.
    
Who we are: Wir sind ein Plattenlabel, wie tausend andere auch und wir sind noch mehr als das. Wir sind das Baby von Lars. Lewerenz, der 2003 begann, Musik von uns, seinen Freunden, seiner Wahlfamilie, zu veröffentlichen. Das war gut, denn deswegen feiern wir inzwischen überall. Coz Audiolith Youth is Everywhere. Und die ist mit uns und wir unten mit ihr. Wir kommen auch in deine Stadt, und wir hören dich an, und wir seh'n uns auf der Straße und wir tragen das gleiche Shirt. Dein Style ist uns wichtig, weil du unsern Mix magst. Dann bist du mit dabei, da alles geht, was Spass macht und echt ist, weil wir nicht auf Ärger stehen, sondern auf Parkplätzen. Auf denen wir raven. Wir trinken unser Bier. Aber machen nicht den Kopf zu. Wir tanzen und singen Lieder. Denn wir sind geiler als der Scheiss, den sie dir verkaufen wollen in Discounterland. Hör nicht auf die. Mach dich locker: Blow your Mind with good Music.
    

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