Arrêter l'horloge

Un hymne pour une Europe forte face aux loups qui la guette

Europe réveille toi

Pour une espérance que la démocratie ne s'éteins pas

Une fin de  démocratie

À propos de la chanson
Cette chanson dresse un portrait poignant de l’usure du quotidien et de l’amour qui s’efface lentement sous le poids des habitudes. Entre le travail, les tâches ménagères et les frustrations silencieuses, elle capture la routine qui transforme les promesses de "pour toujours" en un éloignement progressif.
Une chanson triste et puissante, qui résonne comme un cri silencieux face à la monotonie et l’effacement du sentiment amoureux.


Pour Toujours ?

Tous les matins, le chemin de l'école,
Les bouchons me rendent folle.
Dans la voiture, parfois j'y pense :
Pourquoi avec toi cet enfant...

Les tâches ménagères s'accumulent,
Jusqu'au soir elle me manipule.
Quand tu rentres, mon cher chéri,
Tout doit être fini, joli...
 joli.

Il s'efface par petites gouttes,
Il s'éteint au grand jour.
Il s'en va, sans aucun doute,
Que reste-t-il de "pour toujours" ?

Le soir, c'est plateau télé,
Repas tiède, tout congelé.
Et voilà que tu me déranges
Avec ces bruits quand tu manges.

Je te regarde, tu as grossi.
Tu me regardes, oui, j'ai vieilli.
Et on se couche chacun son tour,
Dos à dos, plus rien ne touche.

La nuit, je suis réveillée,
Je me bouche les oreilles, le nez.
Et au levé, déjà épuisée,
Un simple café pour tout recommencer.

Tous les matins, le chemin de l'école.
Les bouchons me rendent 
me rendent folle...

Il s'efface par petites gouttes,
Il s'éteint au grand jour.
Il s'en va, sans aucun doute,
Que reste-t-il de "pour toujours" ?

Il s'efface par petites gouttes,
Il s'en va
Il s'en va
Il s'en va pour toujours.

Un meurtre sans assassin,
La routine, le quotidien.
Une horrible boucle  boucle  boucle 
Qui tue nos "pour toujours".
...
Toujours

Pour toujours ? Anti St valentin le celibat ça à du bon !

NOS ÉTATS D’ÂMES - Aimer les : )


À propos de la chanson
Dans le clair-obscur d'une chambre d’adolescent figée par l’absence, un père chante.
Il ne crie pas — il n’en a plus la force. Il murmure, il pleure en silence, il se souvient.
D’un premier joint, anodin en apparence, mais qui fut la clef d’une porte qu’on ne referme pas.
Il revoit ce soir maudit où tout a basculé, où l’innocence s’est dissoute dans la fumée.

Depuis, son fils n’est plus là.
Peut-être quelque part, errant.
Peut-être déjà loin, trop loin.
Alors il chante pour ne pas sombrer, pour garder un fil, un souffle.

Et à chaque refrain, la même question lancinante, comme un écho qui ne revient jamais :

"Tu es où quand t'es comme ça ?
Comment tu es quand t'en as pas ?"

Ce refrain n’attend pas de réponse — il la redoute autant qu’il l’espère.
C’est une chanson de deuil avant même que la mort ne vienne.
Un chant d’amour désarmé, pour un fils emporté par l’ombre.
Et dans le silence qui suit…
C’est toute la tendresse d’un père qui continue d’exister, là, suspendue entre deux mondes.

Alzheimer

Petit Sumo

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