Déclic en nature – En quoi c’est différent ?
Déclic en nature c'est un accompagnement par le coaching qui se fait à l'extérieur en marchant en nature.
Ce qui est différent ici par rapport à un coaching en Visio ou en bureau c'est que les propositions de travail sont plus riches, diverses et inattendues.
Ici il y a d’abord l'espace, les paysages, la perspective, le temps, les sens , les sensations , le mouvement du corps la marche, cette matière brute qui lorsqu’elle est intégrée avec finesse, dans le coaching permet de libérer la créativité la confiance.
Il y a aussi les propositions inattendues que nous rencontrons en marchant , en chemin. Ces propositions inattendues se présentent sous forme de métaphores, d’ images, d’analogies, de synchronicités. Travailler autour d’une métaphore est la manière la plus joyeuse de provoquer des déclics ! 
IL y a enfin quelque chose de subtil, invisible et qui est essentiel pour moi. C’est d’être en nature, être en lien avec notre environnement naturel. Là nous sommes très souvent trop souvent en environnement artificiel. Être en lien avec la nature, c’est développer ces capacités d’observation, de s’interroger sur notre rapport au vivant, de s’interroger ce qui est profondément vivant en soi, ce qui est important et qui a besoin de s’exprimer pour s’installer avec sincérité et courage dans sa vie quotidienne

Déclic en nature – En quoi c’est différent ?

Aujourd'hui je vous parle d'un sujet concernant la relation de travail qui s’invite régulièrement dans les séances de coaching. Comment évoluer dans une relation de travail difficile sans s’épuiser.

Cette question peut concerner une relation avec un collaborateur, votre responsable, un client, des investisseur ou d'autres parties prenantes par exemple des élus, comme cela peut être le cas si vous travaillez dans la fonction publique.

La première bonne chose que je constate, c’est le niveau d’impact. Lorsque je demande à mon client d’évaluer son niveau d’épuisement sur une échelle de 1 à 10, la personne le place au-dessus de 7 …une relation créer de l'épuisement mental émotionnel, cela va jusqu’à impacter la qualité du travail de manière durable Tant que les difficultés d’échange sont là, ils s’imposent C’est d'ailleurs c'est la 4e cause des relations sociales de Burnout.

Ce qui se dit c’est comment : Comment se faire respecter, s’affirmer, comment prendre de la distance

C’est ce qu’on va travailler en coaching à identifier le bon fil à tirer et mettre en mouvement quelque chose de nouveau qui permettre d’évoluer différent et d’aller bouger le système d’échange.

Chaque personne chaque situation est différente

Le bon fil cela peut être reconnaitre ses zones de responsabilités, clarifier ses besoins et valeurs, identifier là ce qu’il y a besoin de lâcher et de consolider, travailler la cohérence, la clarté, identifier les zones de toxicité l’estime parfois.

Bref aller à l’encontre de nos modèles installé nous n’avons pas appris à agir juste à réagir par l’agacement, la fuite, la passivité


La marche dénoue, clarifie, ibère , mon métier est d’accompagner mes clients pour qu’ils se mettent en mouvement, en action et s’ils sont prêts qu’ils définissent des modes opératoire concrets immédiatement applicables,

Sur le chemin, j’ai créé 6 étapes pour décliquer ses relations de travail
1/ Déposer ses irritants
2/ Eclaircir la situation avec une juste distance
3/ Conscientiser ce qui se joue dans la relation
4/ Libérer des actions appropriées, celles que vous n’avez pas faites juste à présent
5 / Intégrer les apprentissages de manière durable
6/ Construire vos nouveaux modes d’échanges

C’est une méthode qui marche très bien sur une séance de 2h ou 3h en marchant, et de préférence en nature.

Gérer ses relations de travail sans s'épuiser

Il y a quelque chose de fondamentalement différent dans le fait d'être à l'extérieur pour travailler ses sujets professionnels, 

C’est la possibilité de marcher. 

Et entre nos pensées et notre façon de marcher, Il y a des liens intimes

Je sais, par exemple, que lorsque je marche les yeux rivés au sol, le pas rapide et les points relativement serrés, je suis dans mes pensées.
Je ne suis pas ouverte vers l’extérieur, pas attentive à mon environnement,  je suis avec mes ruminations : vous savez celles qui font tourner en boucle, en rond, 

Mes clients n’échappent pas à leurs pensées tournantes.

Je peux vous raconter les débuts de séance de David,

David est chef de service, et selon ses propres propos, il n’’arrive pas à gérer son équipe. 

David commence les séances de coaching avec un pas rapide, tête baissée plongée dans ses réflexions, ses agacements. Son équipe tourne en rond, ses projets n’avancent pas… tout son corps exprime ses insatisfactions, 

il ne voit pas la beauté du paysage, ses arbres magnifiques au couleur de l’autonome… il marche droit devant, de plus en plus vite. 
Jusqu’à ce que volontairement je ralentisse, 
je suis essoufflée certes et je sens que d’aller de plus en plus vite ne nous mènera nulle part….

Ralentir, c’est la manière plus simple pour obtenir de la clarté. 
C’est en ralentissant, que nos pensées se calent sur quelque chose de différent pour explorer d’autres perspectives.
Ralentir c’est souvent difficile, tant nous sommes conditionnés à avancer rapidement 

Ralentir pour David à déboucher sur un travail dans l’instant présent autour de la présence. La présence à lui-même, à son environnement, la présence aux autres. Et trouver ses propres solutions pour gérer son équipe en ralentissant, en s’arrêtant sur ce qu’est important.

Nous sommes à la fin de l’hiver, David remarque ces crocus qui fleurissent ,je connais ce signal, il vient de ralentir pour remarquer quelque chose qui lui est important, il peut maintenant explorer son propre rythme…son propre style

Nous Marchons Comme Nous Pensons

Déclic En Nature

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